Faut naïf, génie authentique, Joan Mirò fait l’objet d’une rétrospective intitulée Lumière et Poésie organisée à Rome dans le Cloître de Bramante, un lieu hors du temps niché derrière la Piazza Navona.
C’était l’occasion de (re)tester et approuver les vertus thérapeutiques de son œuvre : dix minutes de Miro-thérapie produisent chez moi un effet extatique. Encore mieux qu’une cure de vitamine D.
Ça m’a aussi donné l’envie d’en savoir plus sur le peintre majorquin. Résultat des courses, voici dix détails originaux que je retiens à propos de Joan Mirò :
1. Ses « drôles de dessins d’enfants » s’arrachent à prix d’or. Dernier record en date : en février dernier, Christie’s a orchestré la vente de Le corps de ma brune (Painting Poem, 1925, ci-dessus) pour plus de £20 millions. Pas mal, pour du gribouillage… Faut dire que Joan Mirò, en plus des Beaux Arts, il a fait une Business school. Lire la suite